La vie sans principe

La vie sans principe

« Si je devais vendre mes  matinées et mes après-midis à  la société, je suis certain qu’il  n’y aurait plus rien qui vaille la  peine d’être vécu à mes yeux. »
Prenant l’exemple de sa propre  vie, Thoreau démontre que les  besoins matériels entravent  l’épanouissement de l’esprit.
Son éloge de l’oisiveté en  communion avec la nature  nous invite à explorer les  « provinces de l’imagination »  pour nous émanciper du  matérialisme.
 
Traduit de l’anglais (États-Unis)  par Thierry Gillyboeuf

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About the author

Henry David Thoreau

Né à Concord dans le Massachussetts, en 1817, David Henry Thoreau commence son Journal - qu'il tiendra toute sa vie - en 1837 (l'année où il est diplômé de Harvard) et change de nom. Il s'appelle désormais Henry David et fréquente Ralph Waldo Emerson, Margaret Fuller, Jones Very et Bronson Alcott, les principales figures du mouvement transcendantaliste. Professeur à Concord, il démissionne rapidement car il est opposé aux châtiments corporels. Inspiré par Emerson, il devient l'un des membres influents du cercle transcendantaliste et lutte pour l'abolition de l'esclavage aux États-Unis. Entre 1845 et 1847, Thoreau va vivre dans une cabane près de Walden, au bord d'un lac, en lisière des bois. Il en tire un récit, Walden (1854). Pendant ce séjour, Thoreau écrira le deuxième livre publié de son vivant : A week on the Concord and Merrimack Rivers. Ses autres oeuvres seront posthumes. Il décède en 1862 à Concord, à l'âge de 44 ans. Plusieurs titres sont parus aux Mille et une nuits : La Désobéissance civile (1997), De la marche (2003), La Vie sans principe (2004), Le Paradis à (re)conquérir (2005),  La Moelle de la vie, 500 aphorismes (2006), De l'esclavage. Plaidoyer pour John Brown (2006).

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